Depuis que l’UE a ciblé notre argent et nos droits fondamentaux, de plus en plus de personnes et d’organisations s’ adressent à la Cour constitutionnelle.
L’Europe est arrivé dans un état d’exception permanent. La crise de l’euro lui-même, le coup d’état financier grec, l’ accord sur les réfugiés avec la Turquie, la réponse au terrorisme, les événements à Cologne, le Brexit, tous ces changements géopolitiques étouffent nos droits fondamentaux.
Il s’ agit d’abord et surtout les droits de l’homme, mais aussi les droits sociaux, des producteurs, des travailleurs, des consommateurs, des agriculteurs et les droits de la société civile et des partenaires sociaux pour garantir ces droits sociaux. Mais il s’agit aussi les droits des autorités publiques qui parlent au nom du peuple et qui sont payé par le peuple. Et enfin les droits de la Terre mère menacés par des zones hors démocratie comme la nouvelle génération d’accords commerciaux et d’investissement.
Par notre activisme des droits des droits fondamentaux on défend la souveraineté du peuple qui précèdent la démocratie. Au nom de la souveraineté des pires dictatures se sont déjà imposés, c’est sûr, mais sans un régime politique légitime fondé sur la souveraineté du peuple la démocratie n’est pas possible.
Voilà pourquoi nous défendons la constitution lorsque nos droits sont mis en cause. Une constitution est l’ acte fondatrice d’ une communauté politique. Et les traités internationaux entre les communautés politiques doivent être fondées sur de l’ inter-souveraineté.